A Chiang Mai, on peut voir des temples,



et d’autres encore, un peu différents



 ou pas tout à fait pareils



et puis encore des temples (mais ça tombe bien car je les trouve très jolis).



Certains sont dédiés à des animaux : j’ai bien aimé le temple du cheval avec ses statues dorées un peu partout (le soigneur du cheval du roi aurait été si attristé par la mort de l’animal qu’il aurait demandé à son souverain de faire construire un temple dans le pré où il broutait).





Dans chacun d'eux, on rencontre des Bouddhas, mais avec des couleurs, des tailles et des postures différentes (et des auréole de plus ou moins bon goût..). Quoi qu’il en soit, j’aime aller prier devant eux.





On trouve évidement aussi des statues de dragon (avec un grand soin apporté au détail...).







En parcourant les rues, on peut aussi croiser des moines dans leur habit orange. Le Bouddhisme est donc omniprésent ici, et c’est d’ailleurs bientôt Shongkran (le nouvel an Bouddhique) qui commence. Nous allons nous purifier… à grand coup de jets d’eau !



Dès le lendemain de notre arrivée, alors que nous nous promenons avec Gabriel et Maman Marion à vélo, le long de la rivière qui encadre la partie fortifiée de la ville, nous voyons les gens se préparer avec des pistolets à eau et des seaux remplis dans le courant (nous sommes d’ailleurs allègrement aspergés !).

Nous faisons un arrêt dans un joli parc, où nous donnons à manger aux poissons (Gabriel essaie d’en attirer un tout jaune, énorme).



L’année s’achève cependant pour nous de manière douloureuse : une entorse pour Maman Marie le matin (un trou sur la route), et une pour moi l’après midi, en rentrant du parc (à l’arrière du vélo de Maman Marion, je me coince le pied dans la roue… aïe aïe aïe) ! Heureusement, je me réveille en forme pour commencer l’an… 2560 !