Après 8 longues heures d’avion (à l’ancienne, sans tablettes), nous arrivons à Singapour d’où nous redécollons assez vite (juste le temps pour les garçons de visiter en sprint les jardins aux papillons, cactus et carpe koi) pour atteindre Bangkok où nous logeons dans une petite chambre d’un hostel du centre ville.



Six ans après notre première venue, nous optons cette fois pour la modernité, avec la visite du centre artistique et culturel contemporain. Nous tombons pendant la biennale intitulée chaos et calme.



Les différentes salles organisées autour d’un escalier central abordent les thèmes des conditions féminine, noire et aborigène, du handicap, de la guerre et du capitalisme, à travers des tableau, des sculptures (nous participons d’ailleurs à une œuvre faites d’une multitude de boules d’argiles), des vidéos…



Dehors, les building aux écrans géants côtoient les temples anciens. Des ponts aériens évitent au nombreux piétons d’être au contact de la circulation très intense et des motos qui roulent sur les trottoirs.



En cette saint Valentin, Gabriel se fait « pauser » un lapin (du nouvel an chinois) avant de rejoindre (avec une pensée pour Nanou) une foule de jeunes filles devant New Country, un boys band de t-pop romantico gothique ambiance violon électrique et vestes lacérées.



Mais nous quittons bien vite la capitale pour une semaine de détente sur la côte de Pattaya.