Nous voici (enfin) arrivés en Tasmanie après quelques problèmes de visas (il faut en acheter un au moins 5 jours à l’avance ne serait-ce que pour se poser 2h en Nouvelle-Zélande), un avion manqué, 24h supplémentaires à l’aéroport de Santiago… et des vouchers-restau à foison offerts par la Latam pour se faire pardonner (et se faire oublier quelques heures à grand coups de frites-ramen-frozen yogourt).



Nos premiers hôtes, Jane et Kevin, nous accueillent tels des grands parents avec de la soupe chaude, des bouillottes et des bonbons. Nous reprenons des forces dans leur maison de Blackmans bay, entre cueillette de pamplemousse, plage et parc pour enfants comme seule l’Océanie sait le faire (tractopelle de plage, parcours d’eau, tyroliennes… cela nous rappelle la Nouvelle Zélande) !



Jane nous emmène également à la rencontre de la faune locale : pademelons (petits wallabies), wallabies et bébés pingouins dans leur nids.



Nous quittons ce petit monde pour rejoindre Hobart et son musée aux magnifiques salles pleines d’animaux et de pierres pour ravir Eliott, ou de cartes de l’Antarctique (où la 1ere expédition depuis Hobart à eu lieu eu 1911) pour plaire à Gabriel.



Nous sommes attendus ensuite par Iulia, Daniel et leur deux filles, qui vivent en pleine nature, dans la maison autosuffisante qu’ils ont construite. Panneaux solaires, récupérateurs d’eaux de pluie et de source, jardin potager, vache (traite à la main), poules, et chasse de wallaby (nombreux et gourmands en herbe) permettent de subvenir à tous leurs besoins.


Le temps n’étant pas au beau fixe (pour changer…), nous profitons du cadre paisible afin de nous reposer un peu avant de rejoindre la côte Est.