Nous voici arrivés dans le sud de Lombok (qui signifie piment en indonésien). Ici, on sirote des noix de coco sur des plages de… quinoa ! Les grains de sables sont en effet énormes et tout ronds, ce que je trouve très pratique pour jouer au restaurant.



J’ai établi ma cuisine dans un homestay avec un grand jardin bordé de cocotiers.



Le matin, nous partons vendre nos pizzas et gâteaux sur la plage (à 1km) : Gabriel me creuse en effet de beaux fourneaux ! Il faut cependant être vigilant en allant dans l’eau : Gabriel a en effet croisé un serpent d’eau paraît-il très dangereux.


 
Pour explorer les alentours, nous avons loué des scooters : je suis le copilote de maman Marion. Je l’arrête régulièrement pour prendre des photos des plages, des ports de pêche où des drôles de vaches (certaines ressemblent à des biches, et d’autres à des buffles !).







Après avoir roulé longtemps (et nous être un peu perdus), nous nous arrêtons manger sur une magnifique plage. Gabriel et moi testons toutes les façons de jouer avec une noix de coco. La baignade est difficile car la marée montante tente de nous tirer vers le large !



En appelant papi pour lui raconter mes aventures (à 3h du matin… oups), j’empêche le vol de la voiture de sa voisine : dans son peignoir de super grand père, il surprend les voleurs et les fait fuir.

Après ces quatre jours de baignade, nous continuons notre découverte de l’île vers l’ouest. Nous logeons près d’un village traditionnel, avec de jolis temples hindous.





La plage n’étant jamais loin, je profite encore un peu des baignades au soleil couchant.



Nous louons une nouvelle fois des scooters : cette fois, le paysage est plus varié mais la circulation très dense car c’est le dernier week-end avant le début du ramadan.



Nous commençons par la monkey forest : des dizaines de singes nous attendent au bord de la route, n’hésitant pas à grimper sur nos engins pour voler de la nourriture.

 



Ils sont très rigolos à regarder : certains s’épouillent, d’autres se chamaillent, et il y en a même un qui boit un petit coup à la bouteille !



Ils nous ressemblent beaucoup : un bébé accroché à sa maman me rappelle d’ailleurs quelqu’un…



Ayant réussi à reprendre possession de nos scooters, nous allons nous rafraîchir sous une grande cascade. Je m’en approche, au plus près, avec maman Marion : le vent souffle, l’eau m’éclabousse, j’ai l’impression d’être dans une tempête !



De retour au parking, c’est la panne ! Heureusement, nous parvenons à repartir. La route qui mène au site traverse les rizières : les travailleurs avec leurs chapeaux pointus coupent les épis et les mettent dans une machine qui sépare les grains des tiges.



En nous aventurant le long d’un cours d’eau bordant les champs, nous tombons sur une famille prenant son bain ! Nous nous éloignons pour ne pas les déranger, et voyons bientôt arriver un groupe de femmes portant de gros chargement sur leur tête. Passe ensuite un homme avec un énorme ballot de riz : il l’accroche à sa mobylette qui déborde d’épis !





Nous grimpons enfin des collines, d’où nous avons une belle vue sur la mer. Ça me donne bien envie de voir le coucher de soleil sur la plage ! Aussitôt dit aussitôt fait : je disparais bientôt sous les vagues pour ramasser coraux et coquillages. Vrai petit poisson, je suis désormais prêt pour notre prochaine escale : les fonds marins de Gili Meno !